Liste des ressources
Fondée au lendemain de la première guerre mondiale par des femmes universitaires convaincues que l’éducation des filles est à la fois un facteur de paix et la clef de la promotion des femmes, l’AFFDU (Association française des femmes diplômées des universités) regroupe des femmes diplômées de l’enseignement supérieur (universités, grandes écoles, écoles d’ingénieures) ayant au moins validé un diplôme de niveau L ou équivalent. Au sein de réseaux nationaux et internationaux, l’AFFDU est engagée dans les actions visant à l’éducation des filles, à l’éducation permanente et à la promotion des femmes instruites.
L’ANEF (Association Nationale des Études Féministes) développe les études féministes et en favorise la diffusion en France et à l’étranger. L’ANEF regroupe des personnes enseignantes, chercheuses, étudiantes ou autre qui effectuent, dans diverses disciplines, des recherches et des enseignements féministes dans et hors institution.
L’association Archives du féminisme a pour objectif de faire connaître et de rendre accessibles pour la recherche les archives féministes d’origine privée, qu’il s’agisse de fonds personnels ou associatifs. Archives du féminisme œuvre à l’identification, à la conservation et à la mise à disposition des fonds dans un réseau d’établissements partenaires.
Association de recherche sur le genre en éducation et formation. L’association a pour but général de fédérer les dynamismes et les énergies au sein d’un groupe de recherches interdisciplinaires. Elle répond aux besoins des personnes concernées par le genre en éducation, en formation et dans le champ de l’intervention sociale, en favorisant leurs échanges.
ARPEGE est un réseau interdisciplinaire de recherche visant à promouvoir les recherches sur le genre à Toulouse, devenu en 2019 une opération structurante du LabEx SMS – Structuration des Mondes Sociaux (Opération 8 : Genre et Structuration Sociale) et en 2021 une Structure Collaborative de Recherche (SCR). Adossé à 25 équipes et laboratoires de recherche, il associe plus de 150 enseignant·e·s- chercheur·e·s et doctorant·e·s de différents établissements universitaires du site toulousain (UT1, UT2J, UT3, CNRS, IEP, IRD, INP, ENSFEA, INRAE, INSERM) et un réseau important de partenaires institutionnels et associatifs en Région Occitanie, ainsi qu’au niveau national et international.
Créée en 2003, EFiGiES est une association qui vise à créer de la solidarité entre étudiant·e·s, doctorant·e·s et jeunes chercheur·e·s en Études Féministes, Genre et Sexualités à travers une mise en commun de savoirs et d’informations. Pour promouvoir les recherches réalisées dans le domaine, l’association organise ou soutient des manifestations scientifiques qui entendent mettre en avant la pluridisciplinarité et la diversité des approches théoriques.
Les six créatrices du réseau, Eva Belgherbi, Anouk Chambard, Catherine Gonnard, Clémence Rinaldi, Camille Philippon et Franny Tachon sont engagées dans des travaux de recherche depuis plusieurs années, et souhaitent à la fois faire mieux connaître et sauvegarder la mémoire des réseaux de femmes artistes en France entre 1880 et 1980. L’objectif de notre association est de retracer, de documenter, de localiser les archives et de faire connaître l’histoire collective de ces groupes non-mixtes d’artistes femmes, de leurs membres ainsi que des critiques et historiennes de l’art qui s’y sont intéressées.
Créé en 1995, le GDR Mage (Marché du travail et genre) a été le premier groupement de recherche centré sur la question du genre. En 2003 il est devenu GDR européen, sous la direction de Margaret Maruani. Aujourd’hui, le Mage se transforme en Réseau de recherche international et pluridisciplinaire. Au-delà de l’Europe, il a engagé des coopérations avec des universités du Japon, de Chine, du Brésil et des États-Unis. L’objectif du Mage est de faire sortir la question du genre du cercle des initiés, de l’intégrer dans un débat plus vaste avec ceux et celles qui estiment – sans forcément que ce soit leur objet de recherche principal – qu’une lecture sexuée du monde du travail a des vertus heuristiques.
Le réseau Genre en Germ’ est un réseau des germanistes travaillant sur le genre en France et dans d’autres pays. Il organise des rencontres régulières (ateliers, journées d’étude, tables rondes, colloques) et fait le lien entre les germanistes travaillant sur le genre (et champs annexes), ou souhaitant le faire à l’avenir, afin de pérenniser les échanges et de favoriser l’émergence de projets ou de collaborations nouvelles.
Cette association a l’ambition de créer un espace de recherche autour des articulations possibles entre genre (gender) et langage. Nous appréhendons le langage, en tant qu’ensemble de pratiques multisémiotiques – parole, textes, conduites corporelles en interaction – socialement situé et historiquement ancré. Dans ce cadre, les pratiques langagières sont un excellent terrain pour observer les processus par lesquels le genre se rend intelligible, se construit et se questionne. Ainsi, les pratiques langagières entretiennent avec le genre une relation indexicale et indirecte médiatisée par un ensemble de postures, d’attitudes et d’idéologies historiquement et culturellement transmises (Ochs 1992).
Les Jaseuses forment un collectif de chercheur-euses féministes en non-mixité travaillant sur des corpus – littéraires, artistiques, historiques – féminins et queer. Certain-es d’entre nous sont rémunéré-es par l’université, d’autres par des emplois plus traditionnels, d’autres par des emplois alimentaires temporaires, d’autres encore sont au chômage : nous travaillons gratuitement par conviction de l’importance scientifique et politique de notre recherche, et attendons d’être financé-es, publié-es, exposé-es, soutenu-es, par les institutions ou par leurs alternatives à venir. Ce qui nous rassemble, c’est la volonté de faire de la recherche sans limiter celle-ci à sa définition académique.
Littératures du Moyen-Âge et Genre. Réseau consacré aux études de genre dans la littérature médiévale dans le domaine universitaire francophone.
Mnémosyne est née à l’initiative de la revue Clio, Histoire, Femmes et Sociétés (devenue Clio, Femmes Genre, Histoire) lors d’une assemblée générale constitutive tenue le 21 octobre 2000. L’association a pour but le développement de l’histoire des femmes et du genre en France, dans les universités comme dans tous les lieux, institutionnels, associatifs et culturels d’enseignement, de formation, de recherche et de conservation.
MUSEA est un site édité par l’université d’Angers qui propose depuis 2004 des expositions virtuelles sur l’histoire des femmes et du genre. Outil éducatif, culturel et citoyen, il permet de déconstruire les représentations stéréotypées du masculin et du féminin. Ses ressources variées (images, textes, sons et vidéos) servent de support à une réflexion transdisciplinaire accessible à toutes et tous. MUSEA a pour objectif de proposer une histoire réalisée par des universitaires, accessible à tous publics. Œuvre collective, MUSEA se construit au fil des propositions qui sont étudiées par un comité scientifique dirigé par Christine Bard (professeure d’histoire contemporaine).
Créé en 2020, le réseau d’études handi-féministes (REHF) offre un espace de recherche, d’échanges et de réflexions autour des questions de genre et de validisme ou capacitisme. Il croise ces deux rapports sociaux, bien souvent abordés séparément dans les sphères de l’enseignement, de la recherche et les milieux militants. Il est organisé par un collectif de personnes concerné par cette double position, soit à titre personnel, soit à titre scientifique, dont les perspectives sont minorisées dans le monde académique et activiste.
L’objectif principal du RUSEMEG est de développer le Réseau Universitaire et Scientifique Euro-Méditerranéen sur le Genre et les femmes. Son objet est de faire croître la connaissance académique sur le genre et les femmes en euro-méditerranée et l’élargir à d’autres pays de l’Union pour la méditerranée en préparant des programmes de recherches conjoints.
La SAGEF (Société française d’études anglophones sur les femmes le sexe et le genre), société savante affiliée à la Société des anglisicites de l’enseignement supérieur (SAES) a été créée en 2011 suite au succès rencontré par l’atelier « Études sur les femmes, le sexe » et le genre proposé au 50e Congrès de la SAES à Lille en mai 2010.
En juin 2016, à l’issue du colloque « Sexologies européennes / European Sexologies » tenu à Toulouse, un réseau international de recherche sur l’histoire européenne de la sexologie a été fondé avec tou.te.s les participant.e.s. La sexologie est, comme à l’origine du terme, à entendre au sens large comme l’ensemble des savoirs savants sur la sexuation et la sexualité, et l’histoire n’est pas une discipline exclusive puisque des anthropologues, philosophes, psychologues sociaux, sociologues et sexologues historiens sont présents aux côtés des historien.ne.s.
La Société Internationale pour l’Étude des Femmes de l’Ancien Régime, société savante née en 2000, a pour vocation l’étude des conditions de vie, des actions, des oeuvres et de la pensée des femmes des périodes précédant la Révolution française. La SIÉFAR travaille à mieux faire connaître ces domaines, pour rendre visible la présence des femmes dans la vie économique, politique, intellectuelle, scientifique et artistique des siècles passés et faire cesser le silence qui continue trop souvent à régner.
Créé en tant que « labo junior » à l’initiative de Catherine Cavalin, Pauline Delage et Delphine Lacombe, avec le soutien de la Cité du genre – USPC (décembre 2017- finalisation en décembre 2019), le réseau a pour vocation de fédérer des auteur.e.s de recherches en cours ou récentes sur les violences fondées sur le genre.
Carnet de recherche avec comité de parainage scientifique portant sur les questions de genre en milieux agricoles/ruraux.
En lien avec l’association du même nom, la collection propose des ouvrages sur les mouvements d’émancipation et de libération des femmes et s’interroge sur leurs effets politiques, sociaux et culturels. Elle souhaite encourager les recherches en sciences humaines dans ce domaine et incite au renouvellement de l’historiographie grâce à une meilleure connaissance des sources archivistiques, imprimées, orales ou audiovisuelles.
Atlantis : Études critiques sur le genre, la culture, et la justice sociale est un journal érudit de recherches consacré au travail critique dans une variété de formats qui reflètent l’érudition et les approches actuelles dans la discipline des études sur les femmes et sur le genre. Il inclut une variété d’approches féministes, anti-discriminatoires, intersectorielles, transnationales et culturelles envers une vaste gamme d’enjeux contemporains, de sujets et de connaissances. Atlantis est consacré à la croissance continue des connaissances dans le domaine des études sur les femmes et sur le genre, ainsi qu’aux réflexions critiques sur le domaine même.
Le Bulletin de l’ANEF (Association nationale des Études féministes) paraît à la fin de chaque année sous format papier. Il est offert aux adhérentes de l’ANEF. Il est aussi disponible sur commande (12 €). Les numéros anciens sont disponibles en ligne (et pour certains en version papier).
Les Cahiers du CEDREF sont une revue pluridisciplinaire féministe de parution annuelle. La revue est rattachée au Centre d’enseignement, de documentation et de recherche pour les études féministes (CEDREF) de l’Université Paris Diderot. Elle est spécialement orientée vers la recherche de pointe (féminisme postcolonial et transnational) et la traduction de textes fondateurs dans le domaine ainsi que la jeune recherche en études féministes.
Les Cahiers du Genre veulent mettre l’accent sur les débats théoriques relatifs aux rapports sociaux de sexe dans une perspective résolument pluridisciplinaire et internationale. Ils contribuent, par la diffusion de travaux de recherche de premier plan, à la production de nouveaux outils, concepts et analyses dans le champ des sciences sociales et humaines. Ils se distinguent d’autres publications par le large spectre des questions abordées à partir du genre. Ainsi, les numéros thématiques de la revue traitent non seulement du monde professionnel et de la sphère publique et politique, mais aussi des multiples facettes de la sphère privée renvoyant à des dimensions affectives, psychiques ou psychanalytiques.
Les Cahiers genre et développement constituent une collection d’ouvrages portant chacun sur une problématique spécifique. Ils sont un recueil de documents de référence et d’articles sur le concept de genre et l’analyse des problèmes de développement qu’il permet. Ils visent à mieux faire connaître l’outil d’analyse qu’est le genre, à croiser les théories féministes, dans toute leur diversité, avec les théories de développement. Ils ne constituent pas un manuel mais proposent un choix de documents, accessibles et en langue française, dans le champ des études genre et développement.
Clio. Femmes, Genre, Histoire, revue française semestrielle, ouvre ses colonnes à celles et ceux qui mènent des recherches en histoire des femmes et du genre (toutes sociétés et toutes périodes). Organisée autour d’un thème (études de cas, actualité de la recherche, documents, témoignages et interviews, Clio a lu, Clio a reçu), elle est attentive à la dimension pluridisciplinaire et publie également des articles de Varia.
ex aequo is a biannual international interdisciplinay journal, edited by the Portuguese Association of Women’s Studies (Associação Portuguesa de Estudos sobre as Mulheres – APEM), since 1999. It aims to contribute to the development, visibility and legitimation of the knowledge produced by Women’s, Feminist and Gender Studies.
La Perséide « Féminismes en revue » est une plateforme d’archivage et de diffusion numérique, à destination des chercheur·es et du grand public. Le projet « Féminismes en revue » [FemEnRev] vise à mettre sur pied une plateforme de recherche collaborative pour la numérisation, la structuration, l’enrichissement de métadonnées, l’annotation sémantique, la conservation et la diffusion de corpus de 19 périodiques féministes du second XXe siècle (1944-2019).
GEF est une revue internationale francophone sur le genre en éducation et formation qui ne se limite pas à l’espace scolaire mais s’ouvre à la formation d’adultes, à l’éducation populaire, à la pédagogie féministe, à la petite enfance, à l’éducation non formelle, etc. Elle examine les objectifs que se donnent les institutions et les politiques publiques et leurs effets. Elle s’intéresse également à la manière dont les différents rapports sociaux s’entremêlent ainsi qu’aux effets qu’ils coproduisent. La revue GEF propose des dossiers thématiques à partir d’appel à articles, des articles de varia, des comptes rendus d’expérience professionnelle.
La revue Genre & Histoire, revue électronique créée à l’initiative de l’association Mnémosyne, est un espace de publication ouvert à toutes celles et ceux dont les recherches s’inscrivent dans le domaine du genre avec une attention plus particulière aux étudiant-e-s (Master et Doctorat) d’histoire ainsi qu’à celles et ceux d’autres disciplines – sociologie, philosophie, anthropologie, géographie, sciences politiques, sciences de l’éducation, littérature, civilisations, Staps – dont les travaux comportent une dimension historique. Outre des articles scientifiques, elle accueille, pour le moment, différentes rubriques : résumés de travaux soutenus, bibliographies thématiques, itinéraires.
Genre en séries : cinéma, télévision, médias est une revue semestrielle en libre accès consacrée aux approches genrées, et plus largement culturelles, des productions médiatiques. Il s’agit de participer à l’appropriation, tardive pour les études médiatiques et audiovisuelles, de ces approches et outils d’analyse par le champ universitaire français. Créée en 2015, la revue est éditée par les Presses universitaires de Bordeaux.
Genre, sexualité & société est une revue francophone à comité de lecture, consacrée à la sexualité et aux questions de genre. Créée en 2009 par un groupe de jeunes chercheure-s en sciences humaines et sociales, la revue Genre, sexualité & société se revendique comme un espace de dialogues et d’échanges, ouverte à différentes approches disciplinaires.
GLAD ! est une revue consacrée aux travaux scientifiques, artistiques et politiques articulant recherches sur le genre et les sexualités et recherches sur le langage. C’est une revue en ligne, inter- et transdisciplinaire, principalement francophone, qui cherche à créer un espace de discussion et de rencontre entre des travaux, des angles d’attaque et des pratiques multiples. C’est aussi un espace de traduction, d’exploration de la langue et de réflexion critique sur les critères de légitimité linguistique et académique.
Le projet Intersections. Revue semestrielle Droit & Genre s’inscrit dans le prolongement de l’ambition que s’était initialement fixée le programme REGINE : susciter des recherches juridiques mobilisant le genre en France et les rendre visibles. Ce projet vise également à répondre à un manque éditorial autour de la publication des études de genre en droit qui, en particulier dans le monde francophone, peinent souvent à trouver leur place.
The Journal of Diversity and Gender Studies (DiGeSt) is a bi-annual, peer-reviewed international journal dedicated to the intersection of diversity and gender studies. It is included in the Flemish Academic Bibliography for the Social Sciences and the Humanities (VABB-SHW).
Lectures du genre est une publication électronique qui a pour vocation de rendre rapidement disponibles les travaux des chercheures et des chercheurs qui participent aux rencontres intersites Tours – Toulouse, ainsi que tous les articles, documents, informations et références bibliographiques – sous réserve de leur acceptation par le comité éditorial – susceptibles d’intéresser les spécialistes des questions de genre et les chercheur-e-s en formation.
Les Cahiers du Grif est un périodique féministe francophone fondé en 1973 par Françoise Collin au sein du Groupe de recherche et d’information féministes à Bruxelles. Le dernier numéro est paru en 1997.
La revue Les Mains Invisibles naît de la nécessité de redonner aux créatrices de la période moderne (qu’elles soient écrivaines, traductrices, éditrices, philosophes, artistes, architectes, scientifiques, compositrices, musiciennes, comédiennes…) la visibilité qu’elles avaient à leur époque, et ont perdu au fil des siècles en raison d’un processus, aujourd’hui bien connu, d’invisibilisation historiographique.
Fondée en 1981 par Simone de Beauvoir, Christine Delphy, Claude Hennequin et Emmanuèle de Lesseps, Nouvelles Questions Féministes fait suite à la revue Questions féministes créée en 1977. Depuis 2001, Nouvelles Questions Féministes s’est dotée d’un comité de rédaction franco-suisse. Incluant plus de 40 femmes, ce comité se veut le carrefour d’expériences multiples : par les ancrages disciplinaires de ses membres (anthropologie, droit, géographie, histoire, linguistique, littérature, philosophie, science politique, sociologie), par sa composante intergénérationnelle, par la diversité des formes d’engagement de ses membres.
Psychologies, Genre et Société est une revue scientifique féministe à comité de lecture (peer review). Elle propose un espace de diffusion et de réflexion critique concernant les questions psychologiques relatives aussi bien à la santé mentale qu’aux relations sociales ordinaires. Plus précisément, elle entend aborder les enjeux politiques associés à la psychologie dans une société façonnée par des rapports sociaux de genre qui s’imbriquent eux-mêmes avec d’autres rapports de domination tels que ceux fondés sur la classe, la race, l’orientation sexuelle, l’âge, etc. En outre, il ne s’agit pas d’une revue de psychologie mais d’une revue sur la psychologie. La transdisciplinarité est donc au cœur de sa ligne éditoriale : il est question d’accueillir, par-delà la psychologie en tant que discipline, tout autre domaine issu des sciences humaines et sociales, des sphères professionnelles et des milieux militants dans la perspective de produire un regard pluriel sur les questions psychologiques.
Recherches féministes est une revue scientifique francophone à visée interdisciplinaire. Elle a pour objectif de contribuer à l’avancement de la recherche féministe par la diffusion de résultats inédits de recherche, particulièrement de recherche empirique. La revue publie aussi des textes de réflexion théorique, méthodologique et épistémologique, des notes de recherche, des comptes rendus de livres et de pratiques féministes novatrices, des bibliographies et d’autres informations pertinentes à la recherche. Fondée par Huguette Dagenais en 1988, la revue est publiée par le Groupe de recherche multidisciplinaire féministe, le GREMF, de la Faculté des sciences sociales, Université Laval.
Resources for Feminist Research / Documentation sur la recherche féministe (RFR/DRF) is an academic journal of interdisciplinary feminist scholarship and research. Published since 1972, it is one of North America’s first feminist, academic, and peer-reviewed publications. The journal’s objectives are to disseminate research findings and critical analyses addressing a broad range of issues relevant to feminist theory, research and activism, and to provide a forum for communication for feminist scholars and activists nationally and internationally.
Fondée en 1985, la Revue Femmes et droit / Canadian Journal of Women and the Law est le seul périodique canadien consacré entièrement à la publication et à la dissémination du savoir multi-disciplinaire dans le domaine en pleine croissance des études féministes juridiques. La Revue Femmes et Droit est incorporée comme organisme de charité à but non lucratif. Le lectorat de la Revue comprend des membres de la magistrature, du Barreau, de la fonction publique, des étudiants et des étudiantes en droit et d’autres personnes intéressées par l’égalité des femmes.
Créée en 1993 et publiée depuis 2008 par les Éditions de l’Université de Bruxelles, Sextant est aujourd’hui portée par un groupe interdisciplinaire d’enseignants de l’Université libre de Bruxelles. La revue présente des études, indifféremment en anglais ou en français, sur les questions de genre et de sexualité, en privilégiant l’interdisciplinarité (sciences sociales, lettres, droit, psychologie…). Les numéros, annuels, sont thématiques.
The Women’s Print History Project is a comprehensive bibliographical database of women’s contributions to print for the long eighteenth century, one of the most convulsive periods in both women’s and print history. We collect detailed information about books that women were involved in producing, not just as authors, but also as printers, publishers, booksellers, editors, compilers, translators, engravers, illustrators, and composers.
Travail, Genre et Sociétés est une revue pluridisciplinaire, internationale et ouverte aux différents courants qui traversent ces domaines de recherche. En ce sens, Travail, Genre et Sociétés n’est pas la revue d’une école, mais celle d’un champ de recherches. A l’image du Réseau de recherche international et pluridisciplinaire « Marché du travail et genre » (Mage) qui est à l’origine de sa création, la revue est là pour susciter des confrontations de chercheurs qui ont des positions et des options théoriques différentes, voire opposées.