Jusqu’à présent, la notion de “travail émotionnel” a été surtout travaillée dans le cadre de professions féminisées de care et de service pour mettre en évidence des compétences naturalisées comme étant féminines, qui se voient donc invisibilisées et non reconnues. En revanche, la possibilité même d’étendre le concept à des professions masculines a été moins questionnée sous l’angle du genre. L’ambition du colloque est de saisir les formes spécifiques que prendrait un travail émotionnel fourni par / exigé des hommes.